Comme annoncée, nous préparons notre matériel et embarquons sous la pluie. Je décide de me diriger directement sur un secteur connu pour ses sandres. Je prospecte méthodiquement en vertical cette cassure bien connue qui se forme au pied d'une petite falaise.
Une heure et demi plus tard, je passe à la suite du programme que je me suis imposé. Je remonte doucement la berge Ouest, en épluchant tous les postes marqués. Je travail avec un "Fiiish" 12 centimètres, monté en texan tous les arbres couchés qui s'étalent sur la pente, les retombées de tilleuls et bois morts noyés. Tout y passe, mais sans succès.
J' arrive devant une avancée qui marque le début d'une crique. Je me mets face à cette péninsule, puis je m'en éloigne doucement en palmant discrètement. Je monte un "Ripple shad" 16 centimètres (couleur smelt). Je me mets à pratiquer des lancés/ramené en linéaire le long de chaque courbe de niveau. J'alterne également les lancés de chaque côté de la péninsule. Puis quand j'arrive sur la profondeur de 8 mètres environ; BBOoOuUumMmm, stoppé net ... Je répond par un puissant ferrage. Je reprends immédiatement contact avec le poisson, puis le combat commence. L'habitude du comportement et la lourdeur exercée sur la canne, me permettent de penser à un brochet d'environ 70 à 80 centimètres.
J' arrive devant une avancée qui marque le début d'une crique. Je me mets face à cette péninsule, puis je m'en éloigne doucement en palmant discrètement. Je monte un "Ripple shad" 16 centimètres (couleur smelt). Je me mets à pratiquer des lancés/ramené en linéaire le long de chaque courbe de niveau. J'alterne également les lancés de chaque côté de la péninsule. Puis quand j'arrive sur la profondeur de 8 mètres environ; BBOoOuUumMmm, stoppé net ... Je répond par un puissant ferrage. Je reprends immédiatement contact avec le poisson, puis le combat commence. L'habitude du comportement et la lourdeur exercée sur la canne, me permettent de penser à un brochet d'environ 70 à 80 centimètres.
Le commissaire valide ma prise à 75 centimètres...
C'est l'heure de la pause repas. D'après les "on dit", j'occuperais la première place pour l'instant. Je tergiverse tout en mangeant. Que dois-je faire?
J'opte finalement pour la pêche de la perche. Je m'y cantonne les deux tiers de l'après-midi sans succès. A une heure de la fin, je me remet sur le brochet. Je remonte doucement vers l'arrivé en pêchant de nouveau la cassure. Je prospect également le lit noyé du Chalaux, mais en vain.
Les commissaires sonnent la sortie de l'eau. Il parait qu'il c'est pris des sandres et quelques perches. Pensif, je range mon matériel. Le podium est normalement assuré, mais la place reste indéterminée. Quand Seb annonce le nom du deuxième, c'est la délivrance ...